Lorsque l’on est confronté à une situation difficile, quelle qu’elle soit, on a la liberté de réagir de 4 façons différentes :

1) Accepter
Si, dans l’ensemble, la situation me convient bien (malgré d’éventuels inconvénients vus comme mineurs), je peux choisir d’accepter volontiers la situation telle quelle, sans arrière-pensée.

2) Améliorer
La situation ne me convient pas tout à fait ; je fais des efforts pour l’améliorer, pour qu’elle devienne acceptable.
Exemple : j’ai un malentendu avec un ami, et comme je n’ai pas envie que l’on se dispute davantage, j’essaie d’y remédier afin de retrouver notre belle amitié (il y a pour cela de multiples façons, parole de coach).

3) Quitter
La situation est devenue intolérable. Je ne peux plus l’accepter. Mes efforts pour l’améliorer sont restés vains. Je décide donc de m’extraire de cette situation.
Exemple classique : la séparation du couple après une vie commune, si les efforts de chacun et/ou la thérapie de couple n’ont pas permis de ramener suffisamment d’affection et d’harmonie au foyer.

4) Se plaindre
Le pire des cas est lorsque l’on n’est pas en mesure ni d’accepter, ni d’améliorer, ni de fuir la situation. On se sent piégé dans cette situation qui fait souffrir encore et encore.
C’est par exemple le cas des personnes qui ne supportent plus leur conjoint ou leur emploi, mais qui laissent malgré tout perdurer la situation, car ils craignent les conséquences (affectives, financières ou autres) s’ils partaient. En quelque sorte, le remède serait pire que le mal. Ou bien ils ne trouvent tout simplement pas la force d’activer un changement, ou ne savent pas comment faire. Le changement leur semble inaccessible. Prendre une décision est une trop lourde charge.
De ce fait, ces personnes expriment souvent leur mécontentement ou leur désarroi en se plaignant auprès des autres (qui bien souvent ne savent pas les écouter et entendre leur douleur) ou en retournant ces émotions contre eux-mêmes (s’ils n’ont personne à qui se confier), ce qui est évidemment grandement dommageable.

Grâce à son écoute, ses questions bien choisies et les outils pédagogiques qu’il partage, le coach professionnel vous aide à prendre du recul, à analyser l’épreuve que vous traversez sous d’autres angles de vue, et à envisager une ou plusieurs solutions concrètes.
En fait, le coaching peut vous être grandement utile à tous les stades du problème, que ce soit pour améliorer une situation (mieux communiquer, etc.), mettre en place une stratégie de sortie (divorcer, quitter son emploi et en trouver un autre ou se reconvertir, etc.), ou trouver des solutions là il ne semble pas possible qu’il y en ait. Le tout avec un suivi dans le temps, pour avancer tangiblement, pas à pas.

Et quand bien même la seule solution raisonnable serait temporairement, pour certains, d’attendre, le travail de coaching amènera à une paix intérieure, ce que l’on appelle le lâcher-prise. C’est une autre forme d’acceptation, une acceptation consciente et choisie. Ce qui permet déjà d’envisager l’avenir plus sereinement.

 

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